Ces derniers jours, beaucoup de critiques ont été formulées face à une initiative née des discussions entre représentants de «gens-de-terrain» et «experts» du monde de l’Éducation réunis dans un Comité mis en place par le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge. On reproche notamment que l’initiative des «tuteurs» est mal arrimée et que, trois semaines après sa première évocation publique, les écoles ne savent pas comment l’organiser… Sur le papier, c’est simple. Toutefois, c’est tout un défi que de mettre en place une telle ressource pour soutenir efficacement les élèves en difficultés.