Le dialogue favorise une prise de décision libre, claire et éclairée.

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Il paraît que mes textes encouragent le mouvement antivax. Comme si ces personnes avaient besoin de moi pour orienter leur discours! Je n'ai pas ce pouvoir. Et je ne le veux pas. Par contre, j'essaie de contribuer à la réflexion pour que chacun puisse prendre ses décisions de manière libre, claire et éclairée. C'est l'essence de l'éthique clinique.

Alors que les premiers mois de la crise sanitaire nous confrontaient à un nouveau virus, la première vague de malades et de décès frappa nos imaginaires. Nous voyions émerger différentes stratégies pour tenter de freiner cette vague fatale pour de nombreuses personnes, surtout celles qui étaient déjà porteuses de symptômes associés à diverses maladies chroniques, tel que le démontrait déjà un rapport de la Santé publique italienne et le confirmait un autre rapport de son équivalent américain, puis l’Institut national de la santé publique du Québec exposa les mêmes constats (données régulièrement mises à jour). Pourtant, les mesures ont été appliquées pour tous les citoyens et plusieurs sont encore en vigueur en ce moment.

Le printemps le plus long - Alec Castonguay

LES PREMIERS MOMENTS

Dès le mois de janvier 2020, je parlais régulièrement avec des amis belges et français qui me partageaient leurs réalités dans la vie civile et celles des hôpitaux. Même si cela nous semblait encore bien loin de chez nous, nous étions interpellés par la situation européenne dès le début de l’hiver, et ce, d’autant plus que de nombreux professionnels de la santé manquaient cruellement de moyens pour se protéger contre ce tsunami viral.

J’ai attrapé un virus au début février 2020. Ce n’était ni le premier, ni le dernier. Chose bizarre toutefois, j’avais perdu le goût durant quelques jours et, pendant un mois, je dormais des nuits de 14 heures plusieurs fois par semaine, alors que cinq à sept heures me suffisent d’ordinaire. De drôles de sensations dans le ventre aussi. Je connais bien mon corps et comment il réagit. Je l’observe et j’en prends soin. Aucun besoin de médicaments, j’ai mes « ressources » personnelles utilisées, voire optimisées, depuis 40 ans que je m’intéresse aux différentes stratégies qui peuvent soutenir ma santé tant physique que psychique. Cela ne doit pas si mal marcher puisqu’à l’exception d’un bref traitement pour un épisode de pierres-au-rein et pour le suivi d’une morsure subie lors des expériences menées durant mon doctorat, je n’ai pas eu besoin du secours du système de la santé depuis que j’ai immigré au Québec il y a 30 ans.

Puis, la semaine du 9 mars 2020, les choses changent pour le Québec. Les rapports deviennent alarmants. Monsieur Legault fait une première annonce le 12 mars qui sera suivie, le lendemain, d’une série de consignes encore plus sévères… Nous étions entrés dans la première phase des mesures sanitaires. Dans son livre « Le printemps le plus long, » Alec Castonguay décrit très bien l’état d’esprit de la cellule de crise mise en place par François Legault. Quelles décisions n’a-t-il dû pas prendre pour essayer de réguler cette première vague! Il était là. Corvéable à merci. Comme son équipe…

LIRE, LIRE ET ENCORE LIRE

Le 12 mars, j’étais en tournage avec RadioCanada, pour une émission d’intérêt général qui serait diffusée quelques semaines plus tard. À chaque pause, les responsables nous informaient des bruits de couloir qui arrivaient dans les salles de nouvelles, alors que François Legault n’avait pas encore fait son premier discours. Ils ne voulaient pas qu’on expose une « idée » ou une « blague » qui serait déplacée au moment de la diffusion. Normal. Nécessaire, même. Ils sont sérieux.

Le lendemain, j’étais parti le matin pour Mont-Laurier, une petite ville dans le nord des Laurentides. On sait que les écoles ont fermé de leur propre chef: l’objectif est de rouvrir lundi en étant adapté aux premières mesures dictées la veille par le Premier ministre. J’anime une première partie de formation en après-midi. Puis, les organisatrices m’informèrent, durant le souper, que je ne pouvais pas donner la seconde partie prévue en soirée pour respecter les nouvelles consignes.

Nous étions ainsi plongés dans le premier confinement. C’est ainsi que toutes mes activités comme formateur et conférencier furent annulées du jour au lendemain, y compris deux voyages en Europe. Dès lors, il me reste deux journées de clinique considérées comme travail essentiel et beaucoup de temps libre! Je me pose plein de questions. J’ai besoin de savoir. De comprendre. De me faire une idée des causes de ce drame collectif. Alors, le chercheur qui veille en moi me pousse à lire, lire, lire…

Comme à chaque fois que je me penchais sur des enjeux éthiques des biotechnologies qui me menèrent à rédiger mon essai « Médicaments et performance humaine » en 2010, je lisais des dizaines d’articles pour me faire une tête sur le problème qui nous accablait cette fois mondialement. Je collige. Je prends des notes. Je compare les résultats. J’identifie les biais et les nouvelles questions. Je discute avec des collègues pour confronter les idées émergentes. Des réseaux de scientifiques se créent pour essayer de comprendre et de proposer des pistes de réflexion qui vont au-delà de l’urgence sanitaire.

C’est une stratégie bien rodée depuis 1998. Elle m’avait été bien utile pour orchestrer mes contributions aux séminaires organisés notamment par la Fonds de la recherche en santé du Québec, la Commission de l’éthique, de la science et de la technologie, le réseau québécois NE3LS, l’Institut international de recherche en bioéthique quand nous nous sommes penchés sur les enjeux éthiques que représentaient les nouvelles biotechnologies. La même démarche scientifique qui me prépare pour différentes conférences ou réunions pour lesquelles j’agis comme consultant sur les enjeux éthiques et sur les défis en termes de responsabilité sociale des entreprises et des universités.

Les données disponibles étaient largement diffusées. Comprenant enfin mes symptômes vécus quelques semaines plus tôt, on a pu ainsi – par exemple – retracer la lignée de contamination de la Corée à Montréal durant l’hiver 2020. Des analyses ultérieures ont confirmé que l’hypothèse était plausible. C’est théorique, mais pas plus que le taux de personnes considérées contaminées par les mesures de la Santé publique dans les semaines qui s’écoulaient. On voit déjà fleurir de multiples variants rapportés par des chercheurs. Des études très sérieuses permettent de comprendre cette crise planétaire, mais les données sont parfois contradictoires, notamment en ce qui concerne la transmission par les jeunes.

À ce moment, le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge multiplie également les rencontres virtuelles pour identifier comment soutenir à distance les élèves, puis envisager les conditions d’un retour progressif au moins des enfants. C’est un ministre qui aime être challengé pour s’assurer de l’adéquation de ses décisions. Son équipe et lui travaillent d’arrache pied depuis le Jour-1 de la crise. On se parle plusieurs fois par semaine. On sait que la violence domestique s’est accrue. On sait que les enfants vulnérables le sont de plus en plus sur les plans tant affectif que scolaire. Il faudrait rouvrir les écoles. Cependant, les adultes ont peur. C’est compréhensible avec la manière dont on parle des effets du virus dans les médias. De plus, les chercheurs présentent – de bonne foi – des perspectives parfois divergentes. C’est normal en recherche, mais cela inquiète certaines personnes moins familières avec les contradictions.

Entre le besoin de réassurance d’une population très inquiète qui souhaite se référer à une théorie simplifiée et ce que les différentes recherches nous mettent en lumière, il y a un monde. Un peu comme la contradiction entre, d’une part, la mesure sanitaire européenne imposant le masque ou – du moins – le couvre-visage et, d’autre part, les hésitations du directeur de la Santé publique Horacio Arruda qui expliquait que le masque de procédure avait une fonction bien précise, mais pas celle de protéger des virus et, encore moins, dans un usage commun par des mains non-désinfectées, comme dans les hôpitaux. Qui avait raison? Les pays européens ou Horatio Arruda? Comme ailleurs, le masque s’est finalement imposé à la mi-juillet comme l’une des mesures sanitaires vouées à nous protéger des vagues successives des différents variants du virus.

Je suis habitué de naviguer dans l’analyse multi-factorielle et les contradictions qu’apportent chaque recherche. La profession de chercheur nous amène, grâce à trois cycles universitaires et un post-doctorat, à développer des habiletés pour faire le tri entre toutes les données et proposer, avec humilité, une lecture d’un phénomène complexe.

C’est ainsi que naissent des théories. Elles ont le mérite d’exister le temps qu’on en trouve de meilleures plus nuancées et plus inclusives des différents épiphénomènes. C’est la beauté de ce métier. Comme formateur et auteur, il faut ensuite chercher à proposer des stratégies pédagogiques pour permettre aux citoyens de s’approprier la connaissance.

Inévitablement, il y a des raccourcis ou des éléments qu’on va moins exposer pour faciliter la compréhension globale. Il faut juste s’assurer que le texte soit au service de la population et pas de son auteur. C’est une question d’intégrité.

PHÉNOMÈNES COMPLEXES

Comme chercheurs, nous avons des colloques, des conventions, des clubs de lecture, des articles scientifiques et des revues ou des méta-analyses. Les idées s’entrechoquent. C’est notre normalité. Cela prend des années de formation pour apprivoiser le tout.

Cependant, les informations médiatisées font peur. Le sensationalisme de certains chroniqueurs et, malheureusement, de plusieurs experts médicaux, se transformant parfois en influenceurs, ont créé des moments d’angoisse, voire de panique, chez les individus.

Sur le fond, cela se justifiait: il fallait créer une adhésion aux mesures sanitaires. Sur la forme, c’est une infantilisation de la population qui y perd plus qu’elle ne le croit, car on les exclut du dialogue. Cependant, on est dans l’urgence. Il faut sauver des vies. Et c’est compréhensible.

Malheureusement, l’opportunisme va prendre le dessus. Flairant l’occasion de faire de bonnes affaires, plusieurs personnalités vont abuser de ce climat pour encourager leur théorie au détriment du discernement et des valeurs éthiques.

Certains y voient un plan. Moi, j’y vois des raccourcis théoriques qui, parfois, frisent la collusion et l’abus de pouvoir tant les apparences de conflit d’intérêts sont omniprésentes. J’y vois aussi du marketing savamment orchestré depuis des années pour promouvoir les médicaments. J’y vois une manière unidirectionnelle d’aborder une complexité qui atteint des sommets jamais connus pour la population qui essaie de comprendre ce qu’il se passe. J’y vois l’utilisation de la peur face au sentiment d’impuissance vécu par les proches des malades. J’y vois aussi des tentatives de diminuer leurs angoisses par une solution qu’on espère efficace, alors que les critiques envers les erreurs du monde chrétien ont conduit parfois à une exagération des principes matérialistes au mépris de l’expérience transpersonnelle. J’y vois le nid rêvé par des idéologues pour endoctriner la population dans une perspective transhumaniste. J’y vois des enjeux économiques engendrés par les multinationales qui préfèrent discuter avec un gouvernement unique plutôt qu’une pléthore de petits états perçus comme des épines dans le pied des actionnaires.

Et puis… Il y a ma connaissance de la promiscuité entre les universités et les industries. Il y a ces chercheurs que j’ai rencontrés entre 1998 et 2010 et qui m’ont montré les mises en demeure reçues pour stopper la diffusion de certaines découvertes qu’ils ont faites. Quelque part, ce n’est pas la population, les journalistes ou les dirigeants politiques qui sont fautifs dans tout cela. Ce sont ceux qui, sciemment, privilégient leurs intérêts au détriment du bien commun. Ce sont ceux qui refusent que les citoyens participent aux débats. Ce sont ceux qui refusent le dialogue, car ils savent que leurs projets ne rencontreraient pas le seuil de l’acceptabilité sociale.

INTÉRÊTS SINGULIERS vs BIEN COMMUN

Didier Réolon, spécialiste du monde du marketing, écrivait récemment que « depuis le début de la crise sanitaire, la science est invoquée dans l’espace public à tort et à travers. On a pu voir, au fil des événements et à grands renforts médiatiques, émerger un nouveau champ rhétorique faisant non plus référence à la science comme un corpus de pratiques et de méthodologies, mais à un dogme: un paravent censé justifier par sa seule évocation une idéologie matérialiste et technocratique. Ainsi on se fait maintenant très facilement reprocher de ne pas « croire en la science » dans un amalgame aussi grossier qu’éhonté, si on ose ne serait-ce que remettre en question l’utilisation qui en est faite. Jetant par le fait même l’opprobre sur les nouveaux hérétiques, comme durant les heures sombres des religions instrumentalisées en outils de pouvoir et de contrôle.« 

C’est ainsi que les sobriquets arrivent pour se moquer de ceux qui n’ont pas peur du virus. Ce sont des covidiots ou des touristatas. Si leurs comportements prêtent le flanc à la critique à cause d’un éventuel manque de discernement, valait-il la peine de généraliser tout questionnement sur le discours dominant ou les mesures sanitaires comme un manque de civilité? Mais, cela marche. Le sensationnalisme gagne du terrain. Alors, pourquoi s’arrêter? L’insulte suprême, depuis 18 mois, c’est d’affirmer qu’une personne est complotiste… Pourquoi tant d’amalgames? Pourquoi une vision blanc ou noir des avis des uns et des autres?

Parmi ces individus stigmatisés, il y a quelques personnes qui rapportent – parfois avec maladresse – des informations invérifiables. D’autres qui ont des expériences de vie dans lesquelles elles ont été manipulées, voire abusées. Certaines ont participé à des « rencontres stratégiques » avec diverses autorités qui désiraient favoriser leurs intérêts ou ceux de leur corporation au détriment du bien commun. Il y eut aussi celles qui ont vécu des dérives atroces comme, par exemple, les communautés roumaine ou est-allemande qui ont de terribles souvenirs du contexte politique qui dominait leur vie avant la chute du Mur de Berlin. Il y a les personnes qui ne font plus confiance aux pharmaceutiques, notamment celles qui sont mal à l’aise de l’association Bayer-Monsanto, ou au GAFAM. Il y a malheureusement aussi des extrémistes de droite ou des fondamentalistes religieux, mais ils sont si peu représentatifs de la réalité québécoise. Il y a certainement ceux qui ont visionné des films exposant la manière dont il se peut que certains groupes orientent l’Histoire. Qui a raison? Qui a tort? Est-ce que cela valait la peine de les conspuer? Est-ce qu’un tel jugement de valeur est digne de notre société?

Comme le mentionnait Christian Dufour dans l’Épisode 4 de la série de réflexions sur la gestion de la pandémie Juste pour savoir, le simple fait aujourd’hui de poser publiquement des questions sur les différents prédictions et affirmations des experts ultra-médiatisés ou sur les stratégies gouvernementales, fait en sorte que la personne qui expose des alternatives se voit discréditée comme « complotiste. » On ne discute pas de ses propos: on ridiculise la personne. Cela démontre l’incapacité des uns à dialoguer avec les autres! Cela démontre une intolérance à toute idée qui inviterait à la réflexion. Cela démontre la volonté d’infantiliser son prochain. Cela démontre surtout la faiblesse – malgré les apparences – de la théorie dominante.

Récemment, j’ai appris que quelques trolls ont tenté de me ridiculiser dans les médias sociaux. Il paraît que mes textes encouragent le mouvement antivax, sans que je n’ai une quelconque expertise m’autorisant à questionner les stratégies sanitaires ou l’usage des biotechnologies. Ah oui? Curieux. D’une part, ils ne connaissent vraiment pas les recherches que j’ai menées dans les années 2000, ni les retombées de celles-ci sur les plans éthique et politique. D’autre part, c’est tellement futile! Comme si ses adeptes ou les personnes qui ne croient plus à la théorie dominante avaient besoin de moi pour orienter leurs discours! Je n’ai pas ce pouvoir. Et je n’en voudrais même pas. Ce serait incompatible avec ma manière de voir les choses.

Qu’ils se le disent, j’essaie simplement d’encourager la réflexion pour contribuer au débat éthique. J’espère surtout que chaque personne puisse trouver en elle sa vérité. Pas la mienne. Je ne suis pas important. Mes idées non plus. Ce qui est important, l’inspiration au dialogue pour que les citoyens puissent prendre leurs décisions de manière libre, claire et éclairée. Et pour cela, il est nécessaire de balancer les différentes informations et options pour prendre soin de sa santé.

INSPIRER LE DIALOGUE

Pour cela, il faut envisager plusieurs options. Plusieurs idées. Moult théories. Il faut accepter autant l’option d’avoir raison que celle d’avoir tort. Il faut donc s’ouvrir au dialogue, y compris (et surtout) avec des personnes qui ont des perspectives différentes des siennes. Il faut accepter sa vulnérabilité et le fait d’avoir plus de questions que de réponses pour accueillir les idées d’autrui.

C’est l’essence du débat éthique. Cela prend du temps, parfois précieux dans un monde où tout va de plus en plus vite. Ce débat ne dit jamais quoi penser. Il n’est jamais dans le bien et le mal. Il est dans la nuance. Il est dans le respect. Il est dans l’ouverture à la différence pour co-construire un monde juste et pacifique. Il contribue au processus réflexif de tous et chacun.

En éthique, il n’y a aucune décision. Il y a des valeurs et des échanges pour explorer les différentes compréhensions du monde, de la nature et de l’expérience humaine. Il y a une réflexion sur de potentiels dilemmes. À la fin, il y a éventuellement des propositions d’orientation, mais pas de jugement. Puis, à un moment donné, chaque personne peut alors prendre une décision libre, claire et éclairée.

Je vous laisse avec l’épisode 4 de Juste pour savoir animé par Éloïse Boies. Avec Christian Dufour et
Philippe Langlois, nous discutons des aspects politiques et sociaux de la crise sanitaire. Nous abordons plusieurs thèmes qui ont fréquemment été occultés ou ridiculisés dans les discours des influenceurs. Le dialogue est ouvert. Il est temps que la population se réapproprie l’espace de discussion sur les enjeux sociétaux.

Faites-vous votre idée. Laissez faire les faiseurs d’opinion, même les nôtres. Il est précieux que vous vous construisiez votre propre théorie. Personne ne peut s’arroger le droit de penser à votre place. Par contre, apprivoisez le doute pour explorer les limites de vos croyances et les angles morts de votre avis. Le doute est aussi inconfortable que précieux pour éviter l’intégrisme ou la manipulation d’autrui.

Sources:

Instituto Superiore di Sanita, Report sulle caratteristiche dei pazienti deceduti positivi a COVID-19 in Italia Il presente report è basato sui dati aggiornati al 17 Marzo 2020.

Stokes EK et coll. Coronavirus Disease 2019 case surveillance— United States, January 22-May 30, 2020. MMWR Morb. Mortal. Wkly Report. 2020 ; 69:759–765

INSPQ. Impact des comorbidités sur les risques de décès et d’hospitalisation chez les cas confirmés de la COVID-19 durant les premiers mois de la pandémie au Québec. Décembre 2020 – Les données sont régulièrement mises à jour.

Castonguay A. Le printemps le plus long, Québec-Amérique, Montréal, 2021.

Monzée J. Recherche scientifique: un univers d’informations contradictoires, LaPresse, 2022, https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2022-01-19/recherche-scientifique/un-univers-d-informations-contradictoires.php

Réolon D. L’arbre à ses fruits: réflexion sur les neurosciences, la philosophie et le transhumanisme, mars 2021.

Éloïse Boies, Juste pour savoir – Épisode 4 – La Crise Socio-Politique, février 2022.

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